— saeyfire •• « votre plus beau cauchemard. »

► Fiche D'identité
Saeyfire Rayne Aphélya Camélya Weir

_ [+] Je ne me prend pas pour le nombril du monde,
_____c'est le monde qui me prend pour son nombril.

■ surnom(s) : sae ; yfee ; fire ; Rayne ; Effy ; Phée ; Lya ; Camélia, la fleur sans odeur ; Némésis.
■ âge : 19 ans depuis 11 ans.
■ statut civil : célibataire.
■ date de naissance, du décès & renaissance : 12 mai 2055. - 23 juillet 2074. - 30 janvier 2076.

caractère. ► PRESENTATION RAPIDE
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froide ; manipulatrice ; franche & directe ; lunatique ; méprisante ; arrogante ; prétencieuse ; hautaine ; très fêtarde ; amusante ; sarcastique ; méfiante ; elle n'a peur de rien, et ose tout ; douce ; adorable ; droguée ; a du répondant ; susceptible ; chieuse ; a un égo sur-dimentionné ; a toujours raison même quand elle a tord ; la seule personne qu'elle peut considérer comme de son 'niveau' est sa jumelle : Faeydra et elle n'a vraiment du respect que pour elle ; nulle en relations humaines ; Sae, c'est les deux pôles ; impulsive ; maladroite ; irréfléchie ; bornée ; obstinée ; déterminée ; courageuse ; du genre destructrice mais ne refuse pas son aide à certaine spersonne ; ne supporte pas qu'on ait pitié d'elle mais a souvent pitié des autres ; rusée ; maligne ; égoïste ; souriante ; très bavarde parfois comme taciturne d'autres ; pose beaucoup de questions ; vulnérable mais fait tout pour paraître forte ; caractérielle mais douce et apaisante ; jalouse ; méfiante.

_* être maître de ses caprices est exquis,être leur esclave est encore meilleur.

quelques petites infos en plus. ► DE A À Z
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Âgée de 19 ans depuis environ 11 ans.
Est revenue sur terre il y a 2 an environ.
Capacités physiques et mentales décuplées.
Celles physiques sont bégnignes pour l'instant
voir carrément inexistante sauf en élan de
colère très graveet celles mentales se
matérialisent sous la forme de : maté-
rialiation moléculaire elle-même sous forme
de projection mentale. Elle se fait passer
pour une étudiante. Elle est fort instable et
a un caractère des plus imprévisible et luna-
tique. Elle pense pouvoir surpasser dieu et
en est même sûre. Son pouvoir est au stade
primitif, un élan de colère et hop, elle chance
un caillou en arme,votre sucette devient un
marshmallow et j'en passe de plus belles.

Elle ne peut pour le moment que transformer
un objet en n'importe quel autre chose. Feu,
eau, bonbon, fleur, une goutte d'eau suspen-
due dans les airs,breff, tout ce qu'elle souhaite.
En gros, tout ce dont elle a envie, il suffit qu'elle
y pense et hop c'est devant elle. Néanmoins les
douleurs physiques sont des plus insignifiantes
aux pires douleurs selon le degré de l'utilisation.
Pour couronner le tout ? Elle est diabolique & a
une jumelle qui est tout son double à ce niveau
sauf physiquement, malheureusement, à présent.

ANGE

infos complémentaires. ► IN REAL LIFE
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ton âge ou celui que t'as pas (à) -

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niveau RPG -

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chapitre o1. ► LE DEBUT DE LA FIN
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— saeyfire •• « votre plus beau cauchemard. » 11994

« Je me rappelle de ce jour comme si c'était hier. Le jour où tout bascula pour nous deux. Le jour qui avait déterminé qui seraient nos meurtriers, quand et pourquoi nous allions être tuées. Je vais vous raconter, cet épisode marquant de nôtre vie, à moi et ma soeur jumelle. » Nous étions à une soirée ce jour là, chez un mec que nous ne connaissions même pas, mais c'était un des habituel gars qui organisait ce genre de soirée endiablé, de

débauche , de tout et n'importe quoi on pourrait même dire. Ce genre de type qui organise ce genre de soirée, est toujours bourré de fric, vivant seul dans l'immense baraque de ses parents trop occupés par le travail qui ne se préoccupent même pas de ce que font leur enfant tant que la réputation de la famille n'est pas touchée. Il fallait avoué que cette baraque là, elle avait tout pour elle et laisserait bouche bée le premier pauvre qui passerait devant. Mais personnellement, elle ne m'impressionnait même pas. Nous avions quelque chose dans le même genre et si pas plus immense. On faisait partit de ce groupe, de cette classe sociale, après tout. De ceux qui ont tout ce qu'ils veulent et se sentent vide, comme quoi l'argent n'apporte pas le bonheur en effet. Même si j'avais ma jumelle, j'avoue que ce n'est pas pour autant que je ne me prenais pas à leur jeu, il faut dire qu'elle m'accompagnait volontier et c'était réciproque. On était inséparable. Soit, revenons-en au sujet principale. Nous étions arrivé à la fête, comme d'habitude habillées plutôt osé, on s'en fichait pas mal, on avait l'habitude des regards. Bien rapidement, on s'étaient lançées dans la soirée qui promettait. Et le temps passa, on dansait, buvait, dansait et re-buvait, puis fûmait, et rebelotte. Bien vite, on fut l'une comme l'autre totalement saoule et on se retrouva comme sur une piste de patinage, à tenter de rejoindre le plus proche canapé sans trébucher et s'étaler sur le sol de tout notre long, la tête tournant mais complètement euphorique pour ma part en tout cas. Une fois arrivées, on s'étaient carrément avachies sur le canapé. Je me rappelles que ce soir là, on a rencontré ces personnes qui ont compromis notre avenir. Ce qu'ils pouvaient être pseudo-intéressants, de beaux parleurs, manipulateurs. Que j'étais naïve, qu'est-ce que je pouvais rechercher plus, toujours plus. Ce jour-là fut le premier jour à je toucha à la drogue, le premier jour où je me shoota. Après, c'est vrai qu'on se sentait 'bien', comme sur un nuage, les sens étaient chamboulé, on flottait, on était totalement euphorique . . . et sans défense.

J'étais allongé sur le canapé, à rire avec ma soeur, complètement out, écoutant ces beaux parleurs. On faisait connaissance, ils nous embourbaient, et nous trop cruchent pour le réaliser, on avait pas chercher plus loin. Je me rappelle que ma soeur et l'un des gars semblaient vite se rapprocher et cette dernière me dit : « Je reviens, Sae. » Avant de disparaître avec le gars entre les adolescents présent. Je ne m'étais même pas inquiètée, ma soeur est forte, pour moi elle était imbattable, s'il y avait un soucis, elle l'aurait réglé comme à chaque fois. Mais bien vite ce fut à mon tour. Le brun s'amusait bien et j'avoue qu'aud ébut je n'étais pas contre, ses embrassades, même si je n'étais guère en état de vraiment dire que cela me déplaisait en réalité. Rapidement, il prit les choses en main, j'étais naïve. Avec ses : « Tu viens ? Ne t'inquiète pas, on va juste trouver un coin plus tranquille. » C'était l'époque où j'avoue que je n'étais guère fûtée malgré mon QI, j'avais trop confiance, trop vite. Et en effet on avait trouvé un endroit calme, entre guillemets et où on était seul, totalement seul. Ses baisers avaient redoublés d'intensité, il était impatient, il voulait plus. Pas moi. Je le lui dit rapidement, tentant au mieux de le repousser, en vain. Je me souviens qu'il me gifflait et que je tombais lourdement sur le lit, il rit et lança une parole sarcastique avant d'entâmé la suite des festivité. Il m'embrassait dans le cou, descendait, moi j'essayais de le pousser, de me débattre ave cle peu de force que j'avais, mais il emprisonna rapidement mes main. J'avais crié, ce jour-là. Je n'avais cessé de crier, en vain. La musique bien trop forte, les gens bien trop occupés. Sa main libre séjournait sur ma hanche, il ramontait vite, terriblement impatient, totalement amusé de la situation en même temps. « Ar-Arrête . . . S'il . . . te plaît . . . » , avais-je réussit à articuler continuant à me débattre autant que possible. « Tu peux crier autant que tu veux, personne ne viendra. » Il a cessé, m'a regardé dans les yeux, un sourire des plus sadique au lèvres puis s'y remit et arracha mes vêtements avec une force que je n'aurais même pas soupçonnée. J'étais là, impuissante face à cet instant de pur malheur, où j'allais mourir, mourir à l'intérieur. Je n'avais jamais couché avec quiconque auparavant, c'était la première fois, une première fois atroce. Il déboutonna son pantalon et sortit ce qu'on appelle 'le sexe masculin' avant de me pénétré avec une tel excitation que je ne pus réprimer un cri de souffrance. Malgré ça, il ne s'arrêta pas, commençant ses va et viens pendant que moi, mes larmes roulaient le long de mes joues, tétanisée. Je fermais les yeux, espérant que ce n'était qu'un mauvais cauchemard, que cela passerait. J'espérais qu'en les fermant et priant aussi fort que possible, cela cèsserait, que je me réveillerais. Pourquoi cela devait-il m'arriver à moi ? Qu'avais-je fait au bon dieu pour mériter ça ? Ces quelques minutes me parurent être des heures. Des heures auquel aucune fin ne semblaient venir, et pourtant, ce n'était que de minuscules minutes. J'étais fatiguée, tétanisée, je pleurais comme jamais je ne l'avais fait, j'avais mal, je me sentais sale. Si sale, si mal, si seule . . . Dans un cri d'extase, il éjaculait,c e qui mit fin à mon supplice. Epuisé, il me relâcha et se releva. Se rhabillant rapidement, il planta son regard haineux mais satisfait dans le mien, terrifié et me lança : « Tu dis ce quis 'est passé à quique ce soit, je te tue. » Il prit une pause, pour être sûr que j'ait bien compris. « Casses-toi maintenant ! » Je ne me fis pas prié et remit le peu d'habit qui me restait sur le dos, avant de courir vers la sortie, à la maison, en pleure, me détestant comme jamais ainsi que ces hommes tous les même. Ce jour-là, je suis restée enfermée dans ma chambre avec Faeydra, quand elle est revenue. On ne s'est pas dit un seul mot, nos regards avaient suffit pour comprendre qu'n avait subit le même genre d'humiliation. Depuis ce jour, on est encore plus soudée qu'on ne l'a jamais été.

Je n'ai pas dormit de la nuit, ce jour-là. Je pense que Fae non plus. Enlassées, on avait finit par parler, par tout se raconter. Je ne sais pas si c'est parce qu'elle ne voulait pas faire mauvaise figure, si c'est parce qu'elle voulait toujours être la soeur forte et indestructible, ou simplement parce qu'elle n'y arrivait pas, mais je ne l'ai pas vu scillé, pleurer, en me racontant le tout ou m'écoutant. Je me souviens de son regard noir, écoeurée par ce genre de personnes, énervée, elle avait comme une envie de les tuer, les réduire en bouillit, elle voulait les faire répondre de leurs actes. C'est ainsi, la rage au ventre, qu'on avait décidé d'aller voir la police, malgré leur avertissement. Ils ne pouvaient pas recommençer, ils devaient être condamnés, c'est tout ce qui nous importait. Qui aurait cru que porter plaindre nous mènerait à notre perte ? Sûrement pas nous.

chapitre o2. ► RENAISSANCES ET DONS
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— saeyfire •• « votre plus beau cauchemard. » Creditpaperducks3

« Je suis morte à la suite d'un accident de voiture. Enfin, c'est ce qu'on dit. J'ai été tuée. Je suis restée 2 ans dans les limbes, à errer avec ma soeur. Maintenant, nous sommes de retour, peut-être pas dans nos propres corps, mais cela n'a pas d'importance sachant que l'heure est enfin venue, notre heure, celle de la vengeance. Je me délecte déjà de les voir souffrir, tous autant qu'ils sont. »

J'vouris durement les yeux, une lumière trop éclatante m'aveuglant. J'avais une de ces migraines épouvantables, les yeux plissés, je cachais le soleil d'une main pour pouvoir reprendre correctement mes esprits. J'étais parterre, j'éavais quelques petites égratinures au vu de légers picotements. Diverses sensations me submergèrent, atroces comme fabuleuses. Cela faisait longtemps que je n'avais plus respirer, vu le soleil d'un éclat aussi fort. Je pourrais enfin toucher ma soeur, manger, boire, et accomplir notre vegeance. UC