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Dahey Elwood Green

Please, Dance With Me.

« Il me semble parfois que mon sang coule à flots, ainsi qu'une fontaine aux rythmiques sanglots. Je l'entends bien qui coule avec un long murmure, mais je me tâte en vain pour trouver la blessure. A travers la cité, comme dans un champ clos, il s'en va, transformant les pavés en îlots, désaltérant la soif de chaque créature, et partout colorant en rouge la nature. J'ai demandé souvent à des vins captieux d'endormir pour un jour la terreur qui me mine ; Le vin rend l'oeil plus clair et l'oreille plus fine ! J'ai cherché dans l'amour un sommeil oublieux ; Mais l'amour n'est pour moi qu'un matelas d'aiguilles fait pour donner à boire à ces cruelles filles ! » La Fontaine De Sang, Charles Baudelaire.

Tu coules dans mes veines tel un poison mortel..

Son amour. C'est tout ce qu'il aurait souhaité. Un amour sincère, rien de plus.

Le gamin était là, devant les autres, ses mains se faufilant lentement dans ses poches. Il fixait les enfants de son âge, tout en prenant la peine de les fusiller du regard. Se mordillant la lèvre inférieure, il songea à des tonnes de choses. Des choses qu'il avait vues depuis neuf ans, à présent. C'était si long, si horrible, et pourtant, le garçon ne disait pas un mot. Il se contentait de voir sa mère se faire frapper par son père, et lui aussi. Les marques des poings de son père étaient toujours visibles, et il laisserait sur lui une profonde cicatrice. Il avait neuf ans, il n'était qu'un gamin. Un gamin traumatisé depuis le premier souvenir qu'il avait gardé en lui. La seule chose qu'il avait vue d'agréable dans la vie, c'était sa mère. Si bonne, si douce. Elle qui l'aimait, qui ne l'avait jamais jugé. Il avait toujours eu d'excellentes notes à l'école, un bon comportement avec les autres. Chaque soir, il s'était jeté dans ses bras tout en lui baisant la main - une chose que les femmes avaient toujours apprécié, et qui, dès à présent, était rare. Son sourire qui avait tant fait des ravages chez les petites filles était toujours présent lorsqu'il apercevait sa mère. Il s'était toujours fichu du fait qu'il soit humilié, traiter de certaines choses. Ce qui comptait pour lui, c'était Elle. Sa mère, rien d'autre. Depuis le premier instant, il avait détesté son père. Quand il se couchait, les seules choses qu'il entendait étaient les cris de sa mère, laissant échapper de profonds sanglots à cause de la douleur. Il n'avait pas eu le droit de se mêler des affaires de ses parents, s'il s'en mêlait, c'était un coup de fouet. Le dernier qu'il avait reçu était sur sa colonne vertébrale, et selon lui, ce coup ne disparaitrait pas du jour au lendemain.

Dix-neuf heures. Les derniers rayons du soleil étaient couchés depuis longtemps, en cette soirée d'hiver. Nous étions le vingt-quatre Décembre, et le gamin sortait d'une boutique, un paquet cadeau à la main. On apercevait ses cheveux ébouriffés dépassant de son bonnet bleu-marine. Il faisait très sombre, lorsqu'il ne passait pas devant les lampadaires de la rue, mais son sourire sincère se lisait parfaitement. Peu importe s'il faisait sombre, si on ne le voyait pas. Lui était heureux, c'était tout ce qu'il comptait pour lui. Faire plaisir à sa mère, pour lui redonner elle aussi le sourire. Lui faire profiter de ce moment unique. La lumière de la fenêtre droite de sa maison était allumée. C'était le salon. Il avait de loin le sapin de Noël, décoré de haut en bas, passant du bleu au rouge. Du rouge au vert. Le garçon entra, enleva son manteau et un pull où un " D " était tricoté s'afficha grâce à la lumière. Il enleva par la suite son bonnet bleu, cacha le paquet cadeau pour sa mère et entra dans le salon. Il ne fit aucun bruit et le déposa sous le sapin de Noël, que sa mère et lui avaient décoré. Une femme entra par derrière dans la pièce. C'était une jolie jeune femme, dans la trentaine. Elle avait une magnifique chevelure dorée. Ses yeux étaient d'une obscurité à glacer le sang, identiques à ceux du jeune fils. Elle eut un sourire radieux et se jeta sur son fils, l'enlaçant avec amour et tendresse, fermant ses yeux sombres.

Le garçon parut gêné. Lorsque sa mère ouvrit les yeux et découvrit que sous le sapin se trouvait un magnifique paquet cadeau, elle embrassa son enfant, comme si elle n'avait rien d'autre à faire. La jeune femme se détacha alors de lui et courut vers l'arbre comme une enfant. Elle prit le cadeau, mais ne l'ouvrit pas. La tradition disait qu'il ne fallait ouvrir aucun cadeau avant que les douze coups de minuit ne sonnent. Elle le tendit au garçon.

Et elle sourit. Ils allèrent se poser sur le canapé verdâtre, là depuis trop longtemps. Pendant de longues heures, et jusqu'à ce que minuit arrive, le jeune Dahey demanda à sa mère son cadeau, essayant même de le deviner, même s'il savait que sa mère ne dirait rien. Elle se contentait de sourire. C'était une période agréable, là où son monstre de père ne fit pas son apparition. Dans les bras de sa mère, il songeait au mal qu'il lui avait fais. C'était un monstre, une honte d'avoir pour lui un tel père, et pour elle, un tel mari. C'était à se demander si elle avait - ne serait-ce qu'une seconde - essayé d'éprouver un sentiment à son égare. De longues heures passèrent, le garçon regardait la neige tomber pendant un long moment. Il regardait parfois les flammes de la cheminée. Il s'imaginait là-bas. Loin, loin où personne ne pouvait les trouver. Seul avec sa mère, grandissant avec une vitesse inquiétante. A jamais il serait à ses côtés, et pour rien au monde il ne la laisserait. C'était sa muse, sa source divine. La femme qui avait fais de lui ce qu'il était, qui lui avait fais le cadeau de la vie. Grâce à elle, il était là, et il avait finalement décidé de se sacrifier le dos pour lui offrir un cadeau digne de ce qu'elle aurait souhaité recevoir en échange. Lorsque minuit arriva, la femme et l'enfant se séparèrent et avancèrent vers le sapin de Noël. Dahey exigea que sa mère ouvre son cadeau en premier. Honneur aux dames, avait-il dis. Il était décidément le garçon le plus agréable qu'il soit, le plus poli qu'elle n'avait jamais entendu. Elle décacheta l'emballage et une magnifique boîte rouge remplaça le papier cadeau. Elle hésita à ouvrir et finit quand même par le faire. C'était un merveilleux collier qui paraissait extrêmement cher. Impossible pour lui d'acheter une telle chose. Elle ouvrit la bouche mais rien ne sortit. La jeune femme aux cheveux dorées s'avança à nouveau vers son fils et pleura d'émotions. Ce n'était pas son mari qui aurait fais un sacrifice pour elle, physique ou moral. Elle l'enlaça si fort que le garçon parut étouffer. Il ouvrit à son tour son cadeau et s'aperçut que c'était le pendentif qu'il avait tant souhaité. Une croix nacrée d'or, simplement ce qu'il aurait voulu. Il l'attacha avec la chaine qui allait avec et baisa de nouveau sa mère. La femme mit la musique et ils commencèrent à danser, malgré la bonne vieille musique. Le jeune ne savait pas danser, et sur cet instant, elle lui apprit une chose qu'il devait savoir lorsqu'il serait en compagnie de jolies jeunes femmes. Il s'était toujours promit de faire ce que sa mère souhaitait, de la rendre fière de lui, et c'était réussi. Pendant de longues minutes, le garçon dansa tout en apprenant vite. Ils dansèrent, dansèrent, jusqu'à ce que la fatigue les prennent. Au moment où ils décidèrent de se coucher, quelqu'un ouvrit la porte. Elle se rendit au salon et Dahey eut une sensation de haine. De terreur. Ses cheveux bruns étaient en bataille. Ses yeux rouges fixaient le garçon, et la blancheur de sa peau faisait à un vampire assoiffé. Il était beau, mais ne paraissait pas amical. C'était son père. Il s'avança vers le gamin et le frappa violemment. Il s'en prit par la suite à sa femme, la battant « à mort ». Elle pleurait, hurlait, et l'enfant ne fit rien. Allongé par terre, presque inconscient, il se forçait à combattre. Le père de l'enfant en sortit un couteau, Dahey se leva brusquement et le coup fatal arriva sur lui, au lieu de sa mère. Il se laissa tomber, son cou ensanglanté. Ses yeux remplis de larmes et en même temps d'une énorme haine. La femme hurlait le prénom de son enfant. Elle se mit à frapper elle aussi son mari, prenant le corps de l'enfant et sortie de la maison, malgré une tempête de neige qui s'abattait alors sur Sydney. Elle parlait au gamin, lui disant de lui-même lui parler, de ne pas dormir, de lutter contre le sommeil qui allait le tuer. Elle courut, courut si longtemps, essayant à tout prit de se sauver des griffes de son mari. La femme entra dans un hôpital le plus proche tout en hurlant à l'aide. On examina l'enfant, tout en essayant de le sauver. C'était dur, très dur. Et après une nuit complètement mouvementée, un médecin s'avança vers la femme.

MÉDECIN. « Il gardera sur son cou une profonde cicatrice du poignard et je ne pense pas qu'il oubliera cette tragique scène.. »

La mère commença à pleurer. Elle ne répondit pas, ou juste pour demander à voir son fils. Elle se rendit dans la salle où il était à présent allongé, presque endormi. L'enfant luttait pour voir sa mère, pour simplement comprendre qu'elle allait très bien. Il entre-ouvrit ses yeux sombres. Il ne dit pas un mot, à vrai dire, il ne voulait pas parler à sa mère. Cette sensation étrange d'avoir voulu se faire tuer au lieu de sa mère le tourmentait. Peut-être que s'il avait été poignardé, il serait là-haut, au Paradis, que Dieu veillerait sur lui, et qu'il ferait en sorte que son père meurt bientôt. La seule chose qu'il se promettait à jamais, ce serait d'en finir avec lui. De porter à son tour le coup fatal, de lui montrer la souffrance qu'il avait propagée en lui. La soif du sang était à présent là. Il avait passer sa nuit à s'imaginer tuer son père. Il était à présent sûr qu'il ne serait plus le garçon sage, agréable, mais bien pire.

Sa mère mourut bien plus tard. Ce n'était pas l'acte de son père, mais Dahey rejeta la faute sur lui.

La douleur est une chose que tu devrais apprendre.

DAHEY. « Tu vois ça !? Tu crois sincèrement que je vais fermer les yeux, oublier ce qu'il s'est passé, comment tu as frappé ma Mère, et comment tu as essayé de me tuer ? »

DAHEY. « Tu es un bâtard. Tu ne mérites pas de m'avoir. Meurs, personne n'a besoin de toi. »

ça

DAHEY. - « Dieu n'existe pas, il aurait dû te brûler. Te Tuer. »

Il n'était qu'un Humain. Un simple Humain. Rien de plus.

Laisse-moi jouer avec toi. Tu me détestes, j'aime ça.

Tu ne pourras conquérir mon cœur, car tu l'as déjà fait. Et je ne veux pas le savoir, je veux que tu recommences une nouvelle fois. Pour nous. Pour moi.
Ses yeux. Ils étaient si magnifiques. Si sombres, si profonds. Il avait perdu ses moyens dès qu'elle avait posé son regard sur lui. Dès qu'elle avait prononcé un mot, une parole. Lui, qui d'habitude, était fort, puissant. Il n'aurait pas dû poser ses yeux sur son visage parfaitement bien dessiné. Le seul air qu'il avait fait en sa présence était complètement froid, complètement coléreux. Elle n'avait même pas mérité qu'il jette un œil sur elle, ce n'était qu'une femme. Une Femme.

Six ans. Encore six ans avaient passé. Six années passées avec une vitesse inquiétante. Cela faisait un an et demi que son père était mort. Il s'était finalement suicidé par la faute du jeune homme. Dahey n'avait eu aucun regret. Il s'était toujours dit que c'était pour sa mère. Pour elle, pour rien d'autre. Il était neuf heures du matin, Dahey n'avait pas dormi. Pas une seconde, une minute, une heure. Il avait cette impression de vivre un cauchemar. L'enfant qui était agréable s'était tourné vers le mal. Le jeune homme, complètement cerné par sa nuit turbulente se rendit à son université. Celui-ci étudiait depuis bientôt le droit. Il y avait en chemin un vent violant et Dahey luttait pour ne pas s'effondrer. Il baissa légèrement la tête pour ne pas recevoir des saletés dans les yeux. Lorsqu'il releva la tête, il avait devant lui une jeune femme qu'il connaissait depuis bientôt un an, mais à qui il n'avait jamais vraiment parlée. Depuis qu'il avait entendu les médiats parler de stupides gens qui avaient des pouvoirs, comme des Anges, et tout le reste.. il se méfiait. Il y croyait, certes, mais cela ne changeait rien. Il détestait ces gens, comme on dirait, ils lui pourrissaient la vie.

Son cœur s'était mit à lui faire très mal. Blessures, douleurs causées par ce stupide amour, tout ce que l'on souhaitait. Notre cher Dahey refusait de se voir tomber amoureux d'une femme peu humaine - qu'il détestait, d'ailleurs. Il ne s'était jamais promit d'aimer quelqu'un. Son enfance en était son expérience. Le fait de revoir son père frapper sa mère, encore et encore, lui avait toujours fais un trouble. Il était devenu comme lui, physiquement, et bientôt comme moralement. S'il l'aimait, la seule possibilité était de la frapper. Il ne pouvait pas éprouver certaines choses pour cette jeune femme, elle n'était pas humaine, il le savait bien. Elle lui avait bien montré qu'elle était différente de lui, et les médias avaient presque justifié ce qu'ils contredisaient eux-même. En fait, Dahey était vraiment du genre à s'en ficher. S'ils étaient humains, ou pas, tant mieux pour eux. Lui s'en fichait, il savait simplement qu'il ne les accepterait jamais, et qu'il se lirait d'amitié qu'avec un humain, si cela était encore possible. Il détestait tout le monde, et pourtant, il était intrigué par cette fille. Cette simple fille. Il commença à la fixer avant qu'elle ne continue de parler.

Et elle sourit. Il la détestait. Ô oui, bien plus que n'importe qui. Elle aurait pu être là, à sa portée, il n'aurait rien fait. Et même s'il l'aimait, il refuserait à jamais de l'admettre. Ce petit jeu qu'elle faisait avec lui insupporter plus que tout. Et il savait.. oui, il savait que s'il lui disait qu'elle avait gagné, qu'elle l'avait rendu imperturbablement fou, elle serait heureuse. Heureuse, et continuerait ce jeu stupide. Lui ne souhaitait pas cela. Il n'était pas le genre d'homme qui lâchait son sac, simplement celui qui fuyait l'amour. Surtout avec elle. C'était, selon lui, des monstres qui lui avaient pourri son enfance depuis toujours. De simples rejets sur eux car il ne trouvait pas le coupable de sa propre culpabilité. Il ne pouvait pas expliquer pourquoi il détestait ces créatures, il était né comme ça, il n'y pouvait rien. Et dans un moment de folie, cet imbécile s'était rapproché de la douce créature. Si près qu'il pouvait entendre la respiration de la jeune femme. Était-il idiot ? Peut-être bien. Avait-il décidé de rendre les choses encore plus dures ? Oui. Une simple connaissance par rapport à son caractère prouverait, en effet, qu'il ferait tout pour rendre ces choses-là difficiles. Il n'était qu'un sombre idiot, une personne qui ne comprenait rien à la vie. Et pourtant, oui, pourtant, il était fier de ce qu'il entreprenait. Un sourire idiot se plaça lentement sur le coin de ses lèvres. Il se pencha et la créature laissa échapper une chose qui allait le pousser à continuer..

ELLE. « Qu..qu'est-ce que tu fais ? »
Et il ne répondit pas. Il souriait toujours. Il était penché vers elle. Elle à sa portée, dès ce moment qui allait être décisif. Le jeune Dahey déposa ses lèvres glacées sur celles de la jeune femme, qui étaient d'une couleur aussi rouge que la rose elle-même. Il savait que ce baiser serait différent, inconnu, comme s'il serait le premier, et il avait raison.. des décharges électriques. Rien de plus. Mais le jeune homme continuait. Continuer jusqu'à ce que ce soit elle qui l'arrête. Et lorsque le moment fut venu, elle le repoussa comme s'il l'avait effrayée, le gifla de la force la plus possible qu'elle avait en elle. Il ne ressentit pas la douleur.

Et il ne dit plus un mot. Il l'aimait, elle était stupide, lui aussi. Une relation impossible, simplement impossible. Et jusqu'au dernier jour.

Identification ;

Noms, Prénoms ; Green. Nom que je n'ai jamais apprécié, pour la bonne raison que je le porte à cause de mon Père. Le fait de le porter est un lourd fardeau. Ma mère, qui n'a jamais eu l'opportunité de faire quoique soit a simplement été permise de me nommer ainsi, Dahey. D'origines irlandaises, elle m'a collé un prénom ancien qui signifie bien-aimé. Le deuxième prénom, Elwood, est le prénom de mon grand-père - décédé depuis un certain moment, heureusement. Généralement, je ne donne pas mon nom, ni mon prénom. J'invente la plupart du temps, tellement ai-je honte de les prononcer. Un dégoût, rien de plus.
Âge, Lieu de Naissance ; Vingt-trois ans depuis le dernier mois. Je suis né ici-même, à Sydney, avec des origines françaises, venant du côté de mon père, ainsi que des irlandaises, venant du côté de ma mère, au cas où vous ne l'auriez pas deviné.
Nature ; Humain, bien heureux de l'être. Je n'ai jamais apprécié la magie, toutes ces choses inutiles, qui, pour moi, ne peuvent exister, bien que je sache qu'elles existent vraiment.

Derrière l'écran ;

Pseudo ; Appelez-moi Ted. x]
Code ; BON
Avis ; Superbe forum <33
Et merci à ma Coach de me l'avoir fait découvrir (A).
Avatar - au cas où - ; James Franco, HOT.

Invité

Rooooo
James Franco Dahey Elwood Green - loading. 100% 678621

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Bienvenue à toi et amuse toi bien.

Bonne continuation pour ta présentation et désolé si mon message gêne. mhmh

Hey, bienvenue parmi nous ! :)
Merci de t`être inscrite (sous mon obligation ! xD) ; je te réserve notre très cher James ! Dahey Elwood Green - loading. 100% 195852

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Invité

Ah vraiment ton actrice préférée?Moi c'est une que je préfère mais pas ma préférée, je préfère Kirsten Dunst et Olivia Wilde et mêem si Rachel est plus loin je trouve en qualité bien qu'excellente, et bah elle est pasl in dans mon top lol.
Enfin bref c'est ma vie lol.

Un topic? D'accord et un lien aussi alors^^

Enfin bonne continuation en espérant que tu ai vite fini Dahey Elwood Green - loading. 100% 165576

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Han, toi aussi ? :O
J'adore Kristen & Olivia Dahey Elwood Green - loading. 100% 592429

Sans problème, Mademoiselle Dahey Elwood Green - loading. 100% 195852

Bon, je commence ma fiche <.<

O

><
E

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Chuuut.
Tais-toi sinon je pars.

Je pense finir ma fiche avant ce week-end Dahey Elwood Green - loading. 100% 65539

Invité

allez motivé Motivé, il faut se motiver Dahey Elwood Green - loading. 100% 427785

MDR Bonnie, c`est ma super chanson, j`espère que chez toi, il va pas pleuvoir parce que quand je l`ai chanté, moi y s`est mis à pleuvoir ! xD
Bref, Marie, dépèche toi un peu, je veux un topic moi ! x)

Invité

Nan il pleuvra pas, je suis sure que j'habite trop loi nde chez toi pour que ça arrive jusque là lol.

Moi je veux un lien avec Franco chéri^^

L

:P
N

Invité

Rooo que si je vais y toucher, rien que pour t'embeter na

N

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Invité

Rooo voilà comment tu es.
Bon bah Ilyanna t'aimes pu alors, voilà

Et c'ets pas bien de flooder Dahey Elwood Green - loading. 100% 280442

Et ben, tant que j`ai Dahey moi, je m`en fiche ! x)
Moi, je suis admin, j`ai tous les droits, mais toi, t`a pas le droit ! ^^

Invité

*choquée*
Bon bah c'est décidé, je t'aiime pu na

S T O P

De un, il n'y a qu'une femme qui a le droit de toucher à James, et c'est moi !
De deux, nous sommes fais pour être ensemble, dès sa naissance, dès la mienne, dès le début de la PLANÈTE.
De trois, si vous arrêtez pas de flooder, je fais en sorte que Dahey soit homosexuel ! >.<"
De quatre, ne crois pas que tu t'en sortiras si facilement, Nyla ! x]

Ilyanna.. si ça te tente, je vais dehors

Invité

Je te suis Dahey Dahey Elwood Green - loading. 100% 488271

et si tutu fais ton perso homo et bah Bonnie te ferra changer de "camp^^"

..J'pense pas qu'il sera homosexuel, c'est une bête dans les fougères, lui, quoique.. ça pourrait marcher avec les mecs. Dahey Elwood Green - loading. 100% 280442

D'accord, partons discrètement..

Invité

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oui partons ensemble^^

Et va finir ta présentation soit dit en passant, ça fait une semaine qu'on attend^^

» Dahey Elwood Green - Un Supplice.
» [ M ];[ F ]&[ M ] - Alec W. Ilyanna B. & Dahey G. ;taken o1/o3
» Dance, Dance With Me Baby. - Mister Green.